Thé et feuilles de thé
Le théier, arbre de la famille des “Camellia” – tradition – cueillette des feuilles de thé, uniquement les nouvelles pousses, à la rosée du matin par des femmes…
Les grandes feuilles du bas = pour le thé noir
Les moyennes-petites feuilles du dessus = thé vert
La-les feuilles du haut non déployées = thé blanc
Flétrissement (ou flétrissage) : cette étape consiste à assouplir les feuilles de thé dans le but de les faire sécher jusqu’à atteindre un taux d’humidité situé entre 40 et 50%. Les unité de fabrication modernes utilisent de grandes claies dans lesquelles circule un courant d’air chaud à 25°C. Les feuilles sont généralement retournées et remuées. Cette étape dure environ 24 heures.
Roulage : les feuilles sont roulées sur elles-mêmes afin d’en extraire les huiles essentielles. De nos jours, cette étape est réalisée par une machine qui ressemble à un grand tampon qui effectue de petites rotations circulaires pendant 30 à 40 minutes.
Fixation : c’est un procédé qui permet de stopper l’oxydation des feuilles au moment voulu. Ce procédé est obtenu en soumettant la feuille de thé à une chaleur soutenue pendant une période de temps plus ou moins longue.
Séchage (ou dessication) : opération subtile qui ponctue la fabrication de la plupart des types de thés (sauf celle des thés fermentés) , elle consiste a soumettre les feuilles à un courant d’air très chaud (env. 90°C) afin d’en abaisser le taux d’humidité à un niveau proche de 3%. Une fois cette étape terminée les feuilles de thé sont mises à refroidir, puis triées et enfin emballées.
Fermentation : ce procédé – à ne pas confondre avec l’oxydation – implique l’intervention de micro-organismes dans un environnement pauvre en oxygène, par exemple en plaçant le thé sous une bâche mouillée pour le priver d’oxygène et accélérer la prolifération de micro-organismes qui vont transformer ses nutriments pour lui donner ce gout si particulier.
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